Préparation avant la vente

Vous vous êtes dit qu’il fallait que vous vendiez votre voiture parce que vous voulez un nouveau modèle ou pour d’autres raisons spécifiques. Mais qu’importe votre raison, avant de vendre votre voiture, vous devez préparer au préalable des documents, idéalement 15 jours avant la vente. En effet, vous devez imprimer les deux exemplaires du certificat de cession cerfa 15776 et le certificat de situation administrative appelé aussi de non-gage.

Pendant le jour de la vente

Au moment de la vente, l’acheteur et le vendeur doivent remplir ensemble le certificat de cession. Celui-ci atteste de la vente et comprend tous les détails sur la voiture concernée. Ce serait aussi plus judicieux d’établir un contrat de vente, mais ce n’est pas obligatoire.

Une fois cette étape franchie, le vendeur doit remettre les documents à l’acheteur. Il doit lui donner le volet 2 du certificat de cession, le certificat de situation administrative, la carte grise barrée et le PV du contrôle technique. Toutefois, si l’envie lui prend, le vendeur peut aussi lui remettre le carnet d’entretien et le contrat de vente.

Les formalités après la vente

La vente du véhicule ne s’arrête pas là. En effet, le vendeur doit déclarer la cession sur le site de l’ANTS. En même temps, il doit se procurer du code de cession et le donner au nouveau propriétaire. Il doit aussi résilier l’assurance auto. Ce sont toutes les étapes nécessaires pour la vente d’un véhicule entre particuliers.

Il est à noter que l’acheteur ne dispose que de 30 jours pour enregistrer en son nom le certificat d’immatriculation sur le site ANTS avec le code de cession.

Zéro consommation de carburant

Par rapport à l’électricité, le carburant reste bien plus coûteux. Ce qui signifie que la moto électrique peut être tout à fait économique par rapport à un modèle thermique. En effet, en moyenne, pour rouler sur 100 km avec une moto électrique, vous dépenserez dans les 0,3 € par jour. En comparaison, une moto classique vous coûtera jusqu’à 5 € en moyenne sur une même distance. De plus, le prix du carburant n’arrête pas de fluctuer et il a peu de chance de redescendre à un niveau plus abordable.

Un prix d’achat pas toujours exagéré

Le prix d’achat des motos électriques est souvent supérieur à celui des modèles à moteur thermique. Avec 1 700 €, il vous est par exemple possible d’obtenir un bon modèle 50 cc. Un scooter équivalent à un 50 cc vous coûtera quant à lui, dans les 2 000 € ou même plus. Toutefois, en optant pour un modèle électrique, vous pouvez bénéficier de différentes primes venant de l’État ou de certains organismes. Lorsque les primes sont cumulables, il est souvent possible de réduire de moitié le prix d’achat d’une moto électrique.

Moins d’entretien

Avec une moto électrique, vous n’avez plus besoin d’avoir des connaissances en mécanique pour maintenir en bon état votre deux-roues. Le moteur électrique de ce dernier n’a quasiment besoin d’aucun entretien. La batterie sera le seul élément auquel vous devrez réellement faire attention. Il ne sera toutefois pas question de faire des manipulations complexes. Vous devez simplement adopter quelques bonnes habitudes afin d’améliorer la durée de vie de votre batterie. Ainsi, vous n’avez plus besoin de passer chez un garagiste pour entretenir ou réparer votre moto.

Comment fonctionnent les voitures électriques

D’abord, il faut savoir qu’une voiture thermique qui fonctionne au carburant (diésel, essence, éthanol), possède un moteur dit à explosion. C’est un moteur qui tire son énergie de l’explosion du carburant qui produit une réaction en chaine, depuis des pistons vers l’arbre de transmission des roues.
En ce qui concerne les voitures électriques, les choses sont différentes. On trouve sur ce type de véhicules les mêmes moteurs contenus dans les appareils électroménagers et outils (plongeur, Blender, perceuse, etc.), mais en beaucoup plus grand et puissant. Pour pouvoir fonctionner, ces moteurs puisent leur énergie dans des batteries de type Lithium Ion.

Les avantages de la voiture électrique

Comme les voitures électriques ne consomment pas de carburant, elles sont moins polluantes mais surtout, plus économiques. En effet, une fois que la batterie est à plat, pour pouvoir rouler de nouveau il suffit de brancher la voiture à une borne électrique et de recharger la batterie. Sur une prise de courant domestique, il est possible de gagner 20km de batterie en une heure.
Et en ce qui concerne l’autonomie de la batterie, il faut savoir que celle-ci peut atteindre les 600km si l’on compte le rechargement automatique. Ce qui permet de rouler très longtemps, mais aussi très vite.

Les voitures électriques ne polluent pas ?

La réponse à cette question est à la fois ou et non. Une voiture électrique ne dégage pas de gaz. Elle pollue donc beaucoup moins qu’une voiture thermique. Par contre, il faut savoir que sa fabrication ainsi que sa commercialisation ont des conséquences écologiques assez importantes. Contrairement à ce qui est souvent déclaré, les voitures électriques polluent.

Comment atteler la remorque ?

Pour être sûr de voyager en toute sécurité lorsqu’on prend la route avec une remorque, il ne faut pas l’attacher n’importe comment à l’arrière de la voiture. Normalement, toutes les voitures sont déjà équipées d’une tête d’attelage. C’est donc avec cette dernière qu’on attache l’équipement. Il est indispensable de veiller à ce que la remorque et la voiture soient bien alignées. De cette manière, il est plus facile de faire l’attache et de manœuvrer le véhicule. Puis, il est indispensable de placer des chaînes de sécurité une fois que la remorque a été attachée. On évite prévient ainsi tous risques de détachement accidentel sur la route. De même, il faut aussi veiller à ce que tous les câbles électriques de la remorque soient parfaitement branchés pour s’assurer que tous les feux fonctionnent bien.

Quelles règlementations ?

Avant toute chose, il faut être titulaire d’un permis B ou d’un permis BE pour prétendre être capable de conduire une remorque. Le permis et les documents requis varient surtout en fonction du type de remorque ainsi que du poids tractés, ou du PTAC (poids total autorisé en charge). Pour conduire une remorque avec un PTAC de moins de 500 kilos, en plus d’être titulaire d’un permis B, il faut aussi que la plaque d’immatriculation de la voiture soit apposée à l’arrière de la remorque. Pour un PTAC entre 500 et 750 kilos, la présentation d’un permis B, d’une carte grise et d’une autre immatriculation pour la remorque est requise. Pour finir, pour une remorque avec un PTAC de plus de 750 kilos, il faut avoir un permis BE, une carte grise et faire une déclaration de la remorque auprès d’une compagnie d’assurance.